Chaussures Trail

Hoka One One Challenger ATR 6 (270 G)

Hoka Challenger ATR 6En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test.

SALOMON SENSE RIDE 4 (280 G)

Salomon Sense Ride 4En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test. En cours de test.

SALOMON SENSE RIDE 3 (280 G)

Salomon Sense Ride 3Cette troisième version de la Sense Ride est un pur bonheur. La semelle a gagné en épaisseur, l’amorti a gagné en moelleux tout en conservant une relance dynamique. Les sensations de course se rapprochent de la route. Les défauts du modèle précèdent ont été largement corrigés sur cette version : un contrefort renforcé, une tige un peu plus haute permettant un meilleur maintien de la cheville, une semelle plus durable. Cette version permet de s’engager sur un terrain un peu plus technique même si cette chaussure n’est toujours pas faite pour les pierriers de montagne. (Durée de vie : 650 km)

ASICS GEL SONOMA 4 (315 G)

Asics Gel Sonoma 4Je ne retiendrai pas grand chose de positif de cette chaussure qui ne me donne absolument pas envie d’aller plus loin avec Asics. Je me suis laissé séduire par le petit prix de ce modèle (moins de 70 € de mémoire). A part l’amorti qui s’avère être agréable sur les sorties de plus de 4 heures grâce à la technologie Gel Asics, le reste c’est un peu la catastrophe : Le confort est très sommaire, le pied étant un poil serré sur l’avant. L’adhérence de la semelle est une horreur sur sol humide et est carrément inexistante sur la roche mouillée. La tige de la chaussure plutôt basse au niveau du tendon d’Achille n’offre pas un maintien incroyable. Même la robustesse n’est pas son fort. On est tout proche du zéro pointé. (Durée de vie : 550 km)

SALOMON XA ELEVATE 2 (315 G)

Salomon XA Elevate 2Le look est un peu plus travaillé que la XA Elevate première du nom. Cerise sur le gâteau la chaussure est renforcée aux endroits stratégiques, dont l’intérieur du pied. De ce fait la chaussure bénéficie d’une longévité augmentée (plus de 200 km pour moi). Ceci dit les nombreux renforts alourdissent très légèrement la chaussure puisqu’elle passe de 295 à 315 grammes. La semelle et l’amorti restent quant à eux identiques au modèle précédent. Les sensations sont toujours aussi peu agréables surtout dès qu’on commence à accélérer. Ca reste malgré tout un excellent modèle pour les très longues sorties à des allures modérées. (Durée de vie : 750 km)

SALOMON SENSE RIDE 2 (270 G)

Salomon Sense Ride 2Quelle bonne surprise ! C’est la première chaussure Salomon que je porte qui bénéficie d’un amorti qui donne des ailes à grande vitesse. Cette chaussure d’entraînement est faite pour les parcours rapides et peu technique. Côté confort on a l’impression d’être dans des pantoufles. En revanche le maintien est franchement pas top. En effet, on perd vite confiance dans les sentiers caillouteux qui ne sont clairement pas fait pour elle. L’atout majeur de cette chaussure reste son très bon rapport qualité/prix, à savoir un modèle nerveux et dynamique dans une gamme de tarif très abordable (entre 80 et 90 €). Elle possède une durée de vie plutôt correcte par rapport à sa légèreté. (Durée de vie : 600 km)

SALOMON XA ELEVATE (295 G)

Salomon XA ElevateDes XA qui pèsent moins de 300 grammes ? C’est la révolution chez Salomon ! Pour rappel, la gamme XA est dédiée à l’ultra. C’est une gamme orientée robustesse et tant pis si c’est lourd et moche. Manifestement, ça c’était avant. La gamme prend un gros coup de jeune avec ce modèle. Elle prend surtout une grosse cure d’amaigrissement. Seulement 295 grammes pour cette chaussure ! Une fois au pied qu’est-ce que ça donne ? Et bien si le ressenti général n’est pas désagréable ça manque encore cruellement de sensation au sol. De plus des premiers signes de fatigue commencent à apparaître dès les 300 kilomètres. Un peu déçu donc, même si je sais que le terrain que je fréquente est extrêmement destructeur pour les semelles. (Durée de vie : 550 km)

SALOMON WINGS PRO 2 (313 G)

Salomon Wings Pro 2Ça fait un bon moment que je n’avais pas couru en Salomon. On peut dire ce qu’on veut mais ces chaussures sont excellentes pour le terrain que je pratique, à savoir des chemins rocailleux et très techniques. Le pare-pierres, indispensable sur des chemins comme à la Sainte Victoire, est redoutable d’efficacité, le maintient du pied dans la chaussure approche la perfection grâce à la technologie EndoFit (un manchon interne servant à maintenir le pied avec précision et à améliorer le ressenti du terrain et l’enveloppement du pied). Comme toujours, c’est un modèle que j’ai acheté en solde à moins de 100€. La Salomon Wings Pro 2 est un modèle haut de gamme qui se situe toutefois en dessous de la gamme S-Lab. En fait, les Wings d’aujourd’hui bénéficient des avancées technologiques des S-Lab d’hier. J’ai la sensation d’avoir les S-Lab 6 de 2014 au pied en un poil plus léger. Les points forts de ce modèle sont la protection du pied, le maintient, l’adhérence sur tous les terrains et sous toutes les conditions météo. (Durée de vie : 750 km)

HOKA ONE ONE SPEED INSTINCT (245 G)

Hoka Speed InstinctIl n’est pas certain que cette chaussure aille très loin… 300 km à peine et elle montre déjà des signes de fatigue, le mesh commençant à se déchirer sur l’avant. D’un autre côté je n’utilise absolument pas cette chaussure comme il faudrait En effet, elle est destinée pour les chemins en sous-bois et je l’utile sur un terrain technique et abrasif… Ceci explique cela. Dommage car les sensations sont très agréables. Cette chaussure légère est idéale sur les sentiers roulants ou l’on a tout simplement la sensation de voler. Vous ne trouverez pas sur ce modèle l’amorti king size habituel de la marque. Celui-ci est plutôt bien équilibré et on sent quand même le terrain sous la semelle. Je ne pensais pas un jour porter du Hoka, ce modèle m’a fait revoir mon jugement. Le look y est pour beaucoup également. (Durée de vie : 400 km)

ADIDAS TERREX TRAILMAKER (310 G)

Adidas Terrex Trailmaker (x2)J’ai toujours aimé la marque Adidas mais je reconnais n’avoir jamais trouvé leurs chaussures de trail bien terribles. Elles ont toutefois l’avantage d’être bon marché par rapport à la concurrence qui font d’elles des chaussures d’entrainement plutôt acceptables. Mais avec les Terrex Trailmaker, achetées moins de 80 €, je suis comblé. Tout le bien que j’ai entendu des semelles Continental est confirmé avec ce modèle allant même au-delà de mes espérances. De toutes les chaussures que j’ai utilisé les Terrex Trailmaker possèdent de loin les meilleures semelles ! L’adhérence est incroyable et digne de chaussons d’escalade sur la roche sèche. Encore mieux, ces semelles possèdent les mêmes propriétés sur roche humide. Ces chaussures permettent d’envoyer du lourd en descente, peu importe le terrain. Elles demandent malgré tout un peu de maîtrise car au début on a tendance, comme avec les chaussures « classiques », à anticiper les glissades et dérapages. Sauf qu’ici rien ne bouge, la semelle colle au terrain et les décrochages sont rarissimes. Pour ne rien gâcher cette chaussure est très confortable et son poids, relativement élevé, ne se sent pas. Quant aux renforts ils sont sobres mais plutôt efficaces. Une paire avec un excellent rapport qualité/prix que j’utiliserai aussi en compétition. (Durée de vie : 700 km)

LA SPORTIVA ULTRA RAPTOR (350 G)

La Sportiva Ultra RaptorLa chaussure ultime pour les longues distances ! Une fois les Ultra Raptor aux pieds on se sent invincible pour affronter les terrains les plus techniques. Les renforts sont tels qu’ils protègent parfaitement dans les descentes de pierriers à grande vitesse. Le pare-pierres est le plus efficace que je connaisse. Vous pourrez enfin buter dans les racines et les gros cailloux, comme ça arrive souvent en fin de course, sans hurler de douleur. Vos pieds resteront préservés des ampoules et autres traumatismes même après plus de 100 km… En tout cas c’est vérifié me concernant. En effet le confort de cette chaussure est franchement bluffant et c’est, de mon point de vue, son point fort avec le maintien. La contrepartie est que cette chaussure est un peu lourde et manque de précision, normal vous me direz. Une chaussure à mi-chemin entre la chaussure de trail et de randonnée, elle sera parfaitement à l’aise sur les deux disciplines.

ADIDAS ENERGY BOOST 2 ATR (309 G)

Adidas Energy Boost 2 ATRJe peux résumer l’Adidas Energy Boost 2 ATR comme la chaussure de trail idéale pour la route… Ne compter pas vous lancer sur les trails techniques avec cette chaussure, elle n’est absolument pas adaptée. Aucun maintien, les descentes rapides et techniques sont une horreur avec ce modèle. Je ne compte plus le nombre de chevilles tordues.  Aucun renfort, ne compter pas traverser un pierrier à vive allure. Aucun confort, la paire que j’ai acheté est trop petite. Pourtant ce n’est pas ma première paire d’Adidas. Aucune accroche digne de ce nom, la semelle juste bonne pour les footing dans les parcs. Une paire au top pour les courses nature mais il ne faut pas leur en demander plus. Par contre la semelle Boost est à la hauteur de sa réputation… Elle est simplement extraordinaire ! Le renvoi d’énergie est bluffant. Vous courrez vraiment avec l’impression de voler. En conclusion, l’Adidas Energy Boost 2 ATR reste une excellente paire pour les entraînements rapides et non technique dans les collines près de chez moi.

SALOMON S-LAB SENSE 4 ULTRA (240 G)

Salomon S-Lab Sense 4 UltraCe modèle 2015 reprend du poids par rapport aux modèles précédents mais il gagne en robustesse et longévité… A vérifier dans le temps même si les finitions ne laissent aucun doute sur ce point. On reste toutefois dans la légèreté et je ne sens pas de différence notable en termes de confort, de maintien et de réactivité. La S-Lab Sense n’en fini pas de se bonifier, le design est encore réussi et c’est toujours avec autant de plaisir qu’on se lance sur les sentiers secs, techniques et pentus de préférence. Elle reste taillée pour la compétition et les grands rendez-vous. Pour ceux qui n’ont pas l’habitude de courir avec ce type de chaussure à faible drop, je conseille d’y aller progressivement au risque de se blesser. Dans tous les cas vos mollets vous rappelleront rapidement que cette chaussure à volonté minimaliste demande de l’apprentissage et oblige à corriger sa foulée.

SAUCONY XODUS 5.0 (303 G)

Saucony Xodus 5Nouvelle infidélité à ma marque de prédilection et je ne suis pas déçu. Tout d’abord car la Saucony Xodus 5.0 permet d’avoir au pied une chaussure performante sur les courses longues sans avoir à débloquer son PEL (chaussures achetées en promo autour de 100 €). Au départ j’ai été un peu surpris par le manque de sensation qu’elles procurent par rapport à la XT S-Lab 6 par exemple. J’avais l’impression d’avoir des chaussures de montagne au pied, malgré la relative légèreté du modèle. Mais après quelques sorties cette sensation s’est estompée. C’est une chaussure rassurante sur le long, extrêmement confortable : aucune ampoule après les 67 km du Trail des 6 Burons alors qu’habituellement avec Salomon mes pieds morflent un peu. La semelle Vibram est pour moi un poil au-dessus de la Contagrip qui équipe Salomon, meilleure accroche et résistance accrue. Par contre il reste des améliorations à apporter concernant l’accroche sur roche humide (le gros point faible de toutes les chaussures de trail). Dans la liste des points à améliorer, j’ajouterais le renforcement de la toe box, particulièrement légère sur ce modèle. J’ai lu aussi sur les forums que beaucoup de coureurs se plaignaient de la fragilité du mesh, ce qui est d’ailleurs le cas pour toute la série S-Lab de Salomon (hors Feelcross). Concernant les Saucony Xodus 5.0, aucune trace d’usure après plus de 200 km. (Durée de vie : 620 km)

ADIDAS KANADIA TR7 (280 G)

Adidas Kanadia TR7Énormément d’évolutions par rapport à l’Adidas Kanadia TR4 que j’ai porté à l’entrainement il y a quelques années. La plus marquante se situe au niveau du maintien. Certes, on est encore très loin du maintien d’une S-Lab de Salomon mais c’est nettement mieux que mes anciennes TR4 qui se sont littéralement affaissées au bout de 300 km. L’accroche est toujours très bonne mais c’était déjà le point fort des anciens modèles. Le poids également a considérablement évolué car on est passé de 340 à 280 grammes. Le prix, lui, n’a pas bougé et il reste très accessible en période de promotion (modèle acheté 59 €). Concernant les points à améliorer je noterais la protection des orteils (la toe box) , le pare pierre de ce modèle étant totalement inefficace. Egalement Le maintien car même s’il est meilleur qu’avant il reste encore largement perfectible. En résumé les Kanadia TR7 restent un bon modèle léger pour l’entrainement. En revanche n’attendez pas de ce modèle une chaussure performante. Néanmoins la Kanadia est une agréable chaussure d’entrée de gamme qui permet d’enchaîner les kilomètres sur un terrain peu technique en évitant de se ruiner. (Durée de vie : 700 km)

SALOMON SENSE MANTRA 2 (270 G)

Salomon Sense Mantra 2Salomon Sense Mantra 2Achetées presque deux fois moins chères que les S-lab Sense, elles sont en revanche presque deux fois moins bien. Même si elles sont conçues dans le même esprit que le modèle haut de gamme de Salomon, elles n’ont rien à voir en termes de dynamisme et de précision avec ces dernières malgré un drop de seulement 6 mm. A croire que les 2 mm de plus font toute la différence. Les sensations sont très différentes et nettement moins typées « race »… Elles n’ont pas d’ailleurs cette vocation. Les Sense Matra 2 sont taillées pour l’entraînement sur terrain peu technique où pour les longues distances. Elles sont extrêmement confortables et restent pour moi un très excellent choix pour l’entraînement. Tellement bon choix que j’en ai acheté deux paires de deux couleurs différentes. Une belle promo ne se refuse jamais ! (Durée de vie : 450 km)

SALOMON S-LAB SENSE 2 (190 G)

Salomon S-Lab Sense 2Ce modèle gagne 20 grammes par rapport à mes S-Lab Sense Ultra. En plus d’avoir un look encore ravageur, ce modèle gagne en longévité. Il faut dire que mes Sense Ultra ont eu du mal à dépasser les 300 km, difficile donc de faire moins bien. Côté sensations, c’est le bonheur absolu. Incontestablement la meilleure chaussure que j’ai porté. En revanche il faut être habitué à courir sur l’avant-pied car le drop est seulement de 4 mm et l’amorti au niveau du talon est très faible. Cette chaussure est encore plus précise et dynamique que la S-Lab Sense Ultra. Manifestement le modèle que j’aimerais porter même à l’entraînement mais au prix de la paire (même en solde) je les réserve pour les grandes occasions. (Durée de vie : 300 km)

SALOMON S-LAB FEELCROSS 2 (260 G)

Salomon Fellcross 2Une seule grande différence par rapport à la Feelcross première du nom, la forme et la taille des crampons. On a cette fois de larges crampons en caoutchouc en forme de chevrons nettement moins sensibles à l’abrasion de par leur grosseur. Pour le reste on retrouve toujours ce chaussant très étroit qui assure une excellente stabilité et une sensation très près du terrain. Une chaussure véritablement taillée pour les conditions extrêmes. La boue et la neige sont ses domaines de prédilection mais elle sera également très à l’aise sur terrain caillouteux. Sur terrain dur la semelle est aussi très adhérente mais vous aurez le regret de voir s’user prématurément vos précieux crampons. La tige renforcée est toujours de conception très robuste. En fait, c’est l’usure des semelles qui finit par rendre ce modèle inutilisable. Le reste, lui, semble indestructible.

SALOMON XT S-LAB 6 SOFTGROUND (330 G)

Salomon XT S-Lab 6Conçues sur la même base que la version 5, les XT-SLab 6 bénéficient du système Endofit comme sur les Sense. L’Endofit est un manchon interne qui sert à maintenir le pied avec précision, améliore le retour du terrain et l’enveloppement du pied. A l’usage, ça apporte effectivement un confort et un maintien incroyable. Un vrai plus par rapport aux gammes précédentes. Le mesh semble plus résistant que celui de la version 5. Malheureusement, il s’est déchiré sur une des chaussures au niveau de la pliure du pied après seulement 200 km… Probablement un défaut de fabrication. Je tiens au passage à féliciter et remercier la société LEPAPE pour leur prise en charge SAV qui frôle la perfection. (Durée de vie : 500 km)

SALOMON S-LAB SENSE ULTRA (210 g)

Salomon-S-Lab-Sense-UltraPassé le premier choc visuel du design particulièrement réussi, on enchaîne sur un second, physique celui-là. L’apesanteur ne semble pas avoir de prise sur ce modèle tellement il est léger. Vous avez bien des chaussures de trail entre les mains mais le poids ressenti est celui d’une paire de tongues. Malgré la présence d’une plaque de carbone placée dans la semelle intermédiaire, on ressent très vite les cailloux pointus sous les pieds. Cette chaussure est donc à éviter sur les chemins trop techniques. Pour le reste, c’est du pur bonheur et ça restera très longtemps la chaussure la plus agréable à courir. Par contre, au regard de mon terrain d’entraînement, je ne suis pas certain que ce modèle passe le cap des 300 km… (Durée de vie : 400 km)

SALOMON S-LAB FEELCROSS (265 g)

Salomon FellcrossUn poids léger pour une protection et une efficacité maximales. Mes chaussures de prédilection pour les courses de moins de 3 heures. Elles sont très nerveuses, forcément au détriment de l’amorti, qui reste plus que correct certes, mais fatiguant sur la longueur. Le pied est parfaitement maintenu, l’accroche redoutable sur toutes les surfaces. Les terrains gras restent toutefois leur surface de prédilection. Les autres terrains risquent d’usée prématurément la semelle, faite de gros crampons de caoutchouc. Ce qui serait fâcheux car une fois les crampons rabotés, il ne reste qu’une semelle parfaitement lisse et, du coup, parfaitement instable. (Durée de vie : 600 km)

SALOMON XT S-LAB 5 SOFTGROUND (330 g)

Salomon XT S-Lab 5La version 5 des XT Wings S-Lab est, d’après moi, le meilleur modèle. Il a totalement été revu avec une nouvelle semelle, nettement moins large à l’arrière afin de gagner en stabilité. Elle dispose d’un pare-pierre aussi costaud et sécurisant qu’un char russe, une membrane sans couture hyper confortable. La tige plus étroite que les versions 3 et 4 offre une meilleure tenue. Elles ont passées près de 16h dans l’eau sans broncher lors de la CCC 2012. Pas une seule ampoule, pas de douleur aux pieds malgré des conditions dantesques. (Durée de vie : 650 km)

SALOMON XR CROSSMAX (320 g)

Salomon CrossmaxChaussures achetées spécifiquement pour les entraînements. Habitué aux haut de gamme Salomon, on sent tout de suite la différence. C’est plus lourd et moins précis sous l’avant pied. Au final j’utilise ce modèle pour l’après course et la petite randonnée légère à la journée.

SALOMON XT S-LAB 4 SOFTGROUND (350 g)

Salomon XT S-Lab 4Modèle décevant. Certes, il est léger, confortable et très adhérent mais la membrane a commencé à se déchirer au niveau de la pliure des orteils, une zone mécaniquement très sollicitée. Si la semelle softground permet de prolonger sa durée de vie (même sur terrain abrasif), le défaut de conception de la membrane (ou de mes pieds ?) ne fera pas dépasser les 600 km à ces chaussures. Dommage… (Durée de vie : 750 km)

SALOMON XT S-LAB 3 (310 g)

Salomon XT S-Lab 3Premier modèle haut de gamme que j’ai acheté. J’ai tout de suite senti la différence en termes de maintien et de légèreté. On le sent immédiatement lors des relances. Malheureusement, la semelle a totalement dégénérée au bout de 600 km. Elle ne ressemble plus à rien et à perdue 90% de ses propriétés. Je continue de temps en temps à les porter à l’entrainement mais elles vont bientôt finir au musée ou, si j’arrive à m’en séparer, recyclée au pied d’un coureur qui n’a pas eu la chance de naître au bon endroit. (Durée de vie : 700 km)

SALOMON XA PRO 5 (365 g)

Salomon XA Pro 5Un modèle, bien lourd, bien costaud et pas très beau (je n’aime pas trop le vert anis). Techniquement, c’est pataud. Ca protège nickel mais on ne sent pas grand-chose en courant. Si, comme moi, vous aimez sentir le terrain sous vos pieds, ce modèle ne vous conviendra pas du tout. Elle reste un modèle de référence pour l’ultra. Personnellement c’est ma chaussure de randonnée.

SALOMON XT WINGS 2 (380 g)

Salomon-XT Wings 2Ma première chaussure de trail ! A l’époque, je ne connaissais rien des marques spécialisées dans le trail. Mon choix s’était naturellement porté vers Salomon, d’une part parce que j’ai grandi avec (surtout en ski alpin) et parce que leur savoir-faire dans les sports de montagne n’est plus à prouver. Ça ne sert pas à grand-chose d’en parler dans la mesure où elles ne sont plus commercialisées. J’en était en tout cas pleinement satisfait et elles ont quand même passé la barre des 800 kilomètres. (Durée de vie : 800 km)

ADIDAs Kanadia TR 4 (340 g)

Adidas Kanadia TR4Ma seule entorse à Salomon. C’est essentiellement le prix qui m’a décidé (moins de 60 € en promo) car les couleurs ne me plaisaient pas du tout. Ça reste un modèle correct pour l’entrainement avec une très bonne accroche… et c’est tout. La protection des pieds est inexistante et le maintien approximatif, surtout au niveau des talons. Ce modèle me donnait parfois de mauvaises sensations à la voûte plantaire, comme si j’avais des crampes à cet endroit. Bref, ce n’est pas avec les Adidas Kanadia TR 4 que je garde mes meilleurs souvenirs de trail. (Durée de vie : 550 km)

4 réflexions au sujet de « Chaussures Trail »

    • C’est bien ça. 3 paires sont définitivement au rebut. 1 sert uniquement en randonnée. Ça n’en fait plus que 5 pour la saison…
      Oui, je sais, c’est mal de dépenser autant dans ces périodes de crise mais je surveille les promos 🙂

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s